Les efforts pour produire des faux sont constants et ces derniers déferlent assez régulièrement de Tipaza ou d’ailleurs.
Il semble que le patrimoine artistique d’Issiakhem, Baya et d’autres constitue un complément de revenu régulier pour des peintres qui n’ont cessé d’être médiocres ou de pâles copieurs.
Nous essayons avec difficulté parfois de répertorier ces faux avec un réseau de sentinelles qui veille avec application à la protection de ce patrimoine.
Ceux qui ont acquis une œuvre qui se trouve plus bas sont des victimes, nous en sommes désolés.
Retenez qu’un Issiakhem ne se trouve pas chez un brocanteur posé entre un lampadaire et un plateau en cuivre. Qu’un prix inférieur à 2 Millions de DA est suspect. Et que son authentification est impérative avant de dépenser de telles sommes.
Ainsi, l’authentification des œuvres est un enjeu majeur pour nous, et cette plateforme de mise en contact est également destinée à cela. Nous ne pouvons que vous inviter à nous contacter en cas de doute via le courriel qui se trouve plus bas.